Comment mieux intégrer les femmes dans la gouvernance sportive et comment améliorer leur santé ?
Le constat est sans appel : que ce soit sur (accès à la pratique sportive, rémunération des athlètes d'élite, etc.) comme en-dehors des terrains sportifs (gouvernance, leadership, médias, etc.), les inégalités de genre sont encore saillantes dans l’univers du sport et de l’éducation physique.
Afin de créer des synergies entre celles et ceux qui élaborent les politiques en matière d’éducation physique et sportive et les acteurs·trices de terrain, Lucie Schoch participe à la coordination des activités académiques au sein de l’Observatoire mondial pour l’égalité de genre dans le sport. Sociologue à l’Institut des sciences du sport (rattaché à la Faculté des SSP ainsi qu’à la Faculté de biologie et de médecine), elle mène également un projet soutenu par le FNS sur « la participation des femmes à la gouvernance du sport international ».
Madeleine Pape examine quant à elle la santé des femmes en interrogeant la notion de sexe biologique dans une recherche qu'elle mène grâce à la bourse Emma Goldman Award FLAX Foundation, dont elle est l’une des récentes récipiendaires pour deux ans. Elle a également reçu cette année un subside Ambizione du FNS pour son projet « Feminist Resistance to Trans Inclusion in Women-Only Spaces in the US and UK », qui démarrera cet été en collaboration avec l’Institut des sciences sociales (rattaché à la Faculté des SSP).
Découvrez l'intégralité de l'article publié dans le rapport annuel de l'UNIL.