Le traitement médiatique des avancées scientifiques sur les enjeux climatiques ne serait pas à même d’activer les mécanismes connus en psychologie pour déclencher une action chez les individus et les groupes. Telle est la conclusion d’une étude menée par des scientifiques de sciences sociales et de géosciences de l’Université de Lausanne (UNIL).
Des scientifiques de l’UNIL spécialisé·e·s en géosciences et en psychologie ont collecté quelque 50’000 parutions scientifiques de l’année 2020 sur le changement du climat, pour identifier lesquelles ont reçu des échos dans les médias grand public. L'étude est publiée dans Global Environmental Change.