Vous jouez d’un instrument et souhaitez faire partie d’un orchestre de bon niveau ? L’Orchestre Symphonique et Universitaire de Lausanne (OSUL) a le plaisir de vous faire savoir qu’il reste des places, essentiellement dans les cordes.
Présentation de l'OSUL en vidéo
Une audition d’admission est organisée mercredi 22 février dès 18h30 sur le site universitaire. Vous trouverez plus de renseignements, ainsi que le formulaire d’inscription, sur le site de l’OSUL : https://www.osul.ch/admission
Merci de nous faire parvenir votre candidature pour le 20 février au plus tard.
Contact : info@osul.ch / +41 (0) 77 95 77 182 / www.osul.ch
Ce printemps 2023, l’OSUL va aborder deux très belles œuvres de Glière et Schubert :
Répétitions dès le 1er mars (plan de travail détaillé sur www.osul.ch)
Concert le 16 mai, salle Métropole, Lausanne
Direction : Hervé Klopfenstein
Fondé en 1903, l’Orchestre symphonique de Lausanne devient l’Orchestre Symphonique et Universitaire de Lausanne (OSUL) en 1990. Un certain nombre de chefs se succèdent à la tête de cet ensemble tout au long de son histoire, dont Charles Dutoit et André Charlet.
Depuis 1983, c’est Hervé Klopfenstein qui en est le directeur artistique. Il institutionnalise les rapports de l’OSUL avec l’Université de Lausanne et l’EPFL en 1990, tout en conservant un lien fort avec la Cité. Les meilleurs musiciens non-professionnels issus des conservatoires et écoles de musique de Lausanne, du canton et au-delà, jouent aux côtés des membres de la communauté universitaire et de l’EPFL. Une relation forte s’est également installée avec la Haute Ecole de Musique de Lausanne, dont les étudiants encadrent souvent les membres actifs de l’orchestre. Le large effectif de l’OSUL permet à ses musiciens d’aborder autant des grandes œuvres du répertoire que des partitions plus contemporaines.
Dans le répertoire pour harpe, le concerto de Glière est considéré comme l’un des plus beaux. Ses lignes mélodiques sont un heureux mélange de l’esthétique de Tchaïkovski et de l’instrumentation de Glazounov, qui nous aiguillent vers un univers lyrique léger et sensible. Cette œuvre combine des caractéristiques qui rappellent à la fois le style classique viennois et le nationalisme romantique russe.
Souvent considérée comme la meilleure pièce symphonique de Schubert, la Grande Symphonie en ut majeur est aussi l'une de ses œuvres les plus novatrices. Si l'on retrouve encore le style de Beethoven dans le développement thématique de l'œuvre, le soin apporté à la mélodie est très personnel, ce qui, de la part d'un maître du lied, ne saurait surprendre. Ce nouveau style a incité Schumann à poursuivre ses propres ambitions symphoniques.