Dans le monde du vivant, certaines femelles n’ont pas besoin de s’accoupler pour faire des bébés, en particulier chez les phasmes. À l’UNIL, le groupe de Tanja Schwander, professeure associée à la Faculté de biologie et de médecine, tente de percer les mystères de ce type de reproduction.
Dans les serres nichées près de la forêt de Dorigny, au nord du Biophore, des scientifiques de l’UNIL élèvent des végétaux, mais pas que. L’une de ces structures abrite également des habitants tout particuliers. Dissimulés parmi les plantes, ils ressemblent à s’y méprendre à de petites feuilles ou de menues tiges avec lesquelles ils se confondent parfaitement… Oui, ce sont des phasmes.
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