L’écotoxicologue Nathalie Chèvre, maître d'enseignement et de recherche à l’Université de Lausanne (UNIL), réagit pour Heidi.news: «Pour moi, le problème de la pollution liée à la chimie de synthèse n’est pas nouveau, c’est un constat qu’on aurait pu faire il y a 15 ans.»
Le constat est sans appel: une nouvelle limite planétaire a été franchie. Depuis les années 1950, la chimie de synthèse a connu un essor phénoménal. Notamment à travers les plastiques, ces matériaux à tout faire qui révèlent ces dernières années un second visage, plus préoccupant: persistance dans l’environnement à long terme, action de perturbateurs endocriniens… Pour la première fois, une étude a évalué l’impact des nouvelles entités chimiques produites par les activités humaines.
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La pollution chimique, l'autre limite planétaire qui a été franchie