La paléoclimatologie — étude des climats passés à partir d’enregistrements sédimentologiques — pourrait-elle fournir des outils cruciaux pour tester nos modèles de prévision de changements climatiques ?
Le nouveau projet SPARK « More uncertainties for more certainty: using uncertainties to connect fossil pollen records in space and time and better reconstruct past climate dynamics » relève ce défi.
Manuel Chevalier, qui a conçu le projet, nous explique ses motivations et ses ambitions. À l’Institut des dynamiques de la surface terrestre, Fabio Oriani sera responsable de développer le projet.