L’émission « On va vers le beau » (RTS) de la semaine du 22 au 26 février était consacrée à la question de l’effondrement autour de Gabriel Salerno, doctorant à l'Institut de géographie et durabilité (IGD), et de son nouvel ouvrage « Effondrement… c’était pour demain ⸮».
La notion d’effondrement est une véritable nébuleuse. Naguère historique, ce phénomène concerne désormais la société contemporaine, au vu des dégradations environnementales et sociales qui n’ont de cesse de s’aggraver. Le constat est fondé. Mais qu’est-ce qu’on entend réellement par effondrement ?
Dans l'émission « On va vers le beau » intitulée « Et si tout s’effondrait ? », il a été question, dans un premier temps, de réfléchir sur la notion d’effondrement avec un regard critique, notamment à partir d’une perspective historique avec Michel Fuchs, professeur à la Faculté des Lettres (UNIL), puis, dans un second temps, de traiter la part émotionnelle des bouleversements en cours à travers l’écopsychologie avec Sarah Koller, également doctorante à l'IGD. Les deux dernières émissions ont traité de la manière dont l’effondrement est abordé dans les mouvements civils « La Grève du Climat » et « Extinction Rebellion » avec Lighea Ardia et Margaux Delley, ainsi que de l’expérience de Lorenz Leimgruber qui, dans un souci d’autonomie et de diminution de son empreinte écologique, a construit et vit dans une tiny house.
RTS - On va vers le beau
Le livre