Celle-ci va lui permettre d'effectuer un an de mobilité à l'université de Goldsmiths à Londres, où elle sera accueillie dans le département de Sociologie par Sara Farris, qui codirige sa thèse avec Eléonore Lépinard.
Cette année va être l'opportunité de développer son travail de recherche doctorale, tant au niveau théorique que méthodologique. Être à Londres lui permettra notamment de poursuivre son terrain de thèse, qui porte sur les dynamiques d'institutionnalisation du féminisme en France et en Grande-Bretagne à travers une approche comparatiste, et pour laquelle elle s'intéresse aux politiques de la prostitution de rue et du harcèlement de rue. Ce séjour universitaire sera également l'occasion de forger des liens et de développer des collaborations avec des chercheur·e·s internationaux·ales basé·e·s au Royaume-Uni, contribuant ainsi à renforcer la dimension internationale de son projet académique.