Le programme Scholars at risks aide des chercheuses et chercheurs forcés de fuir leur pays. Fares Mahmoud, qui a dû quitter la Syrie, bénéficie ainsi d’une poste de deux ans à l’Université de Lausanne.
Fares Mahmoud poursuit à l’Université de Lausanne ses recherches sur les questions de transport au sein de l’équipe de géographie des mobilités. Il analyse notamment les impacts de la guerre sur les infrastructures de transport et les pratiques de mobilité mais aussi sur les forêts et les cultures. L’UNHCR Suisse lui a consacré un portrait.