Daniel Oesch, prof. en sociologie du NCCR LIVES explique que ceci est notamment dû à:
- l’organisation de nos domaines professionnels – les emplois de care ou dans la santé, peu qualifiés ailleurs, requièrent une formation en Suisse
- la structure des salaires – les salaires minimums décents évitent que des tâches trop improductives ne soient confiées à des personnes.
À lire, auf Deutsch, dans les pages de la SonntagsZeitung et du Tages-Anzeiger des 28 et 29 mars.