Regard sur la recherche à HEC Lausanne-UNIL – De nombreux gouvernements proposent aujourd’hui un soutien financier aux start-ups qui souhaitent se lancer dans l’aventure de l’entrepreneuriat. Les subventions à la R&D en sont un exemple fréquent. Professeure à la Faculté des HEC (UNIL), Annamaria Conti démontre pourtant dans un récent travail de recherche que selon la politique appliquée, des entreprises en herbe pourraient bien se détourner de cette aide financière.
Pays de start-ups à succès, Israël ne pouvait offrir meilleur terrain pour l’étude conduite par la Prof. Annamaria Conti. Avec une population d’à peine 8,5 millions d’habitants, Israël compte le plus grand nombre de start-ups par habitant au monde, soit une start-up pour 1400 habitants.
Pourtant, il aura fallu plusieurs tentatives aux responsables politiques pour trouver la bonne approche en matière de soutien à la création d’entreprises. Car craignant de voir son investissement s’échapper au-delà des frontières, le gouvernement a initialement appliqué une politique de subventions assortie de restrictions quant au transfert de savoir-faire.
Quel en fut l’impact sur les start-ups les plus prometteuses? Encourager ou sanctionner? Quelles sont les politiques de soutien financier les plus efficaces tant pour les start-ups que pour l’économie du pays?
Réponses à découvrir dans l’article de la Prof. Annamaria Conti publié sur le blog de la recherche à HEC Lausanne, HECimpact.
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