À l’École des sciences criminelles, la professeure Céline Weyermann et son équipe s’intéressent aux traces que laissent les coups de feu. Un sujet à lire dans le nouvel uniscope.
Au sommaire de cette nouvelle édition du magazine du campus, disponible dans les caissettes et sur les plateformes numériques:
- À l’École des sciences criminelles, des scientifiques travaillent sur les résidus de tir organiques, un champ encore peu exploité en pratique.
- Rencontre avec Alexandre Grandjean, de la Faculté de théologie et de science des religions, un chercheur à l’écoute de la terre.
- Claire Bindschaedler, spécialiste des troubles de la mémoire, donne une conférence mercredi 13 mars dans le cadre de la Semaine du cerveau. En vidéo, interview de Ulrike Toepel, organisatrice de cet événement.
- Christian Grosse et Jean-Pierre Bastian analysent au sein du protestantisme romand la fracture issue du premier seuil de sécularisation entre 1840 et 70.
- Sous forme de romans, de livres illustrés ou de bandes dessinées, le monde d’Arthur et de ses chevaliers fait des émules aussi chez les enfants. Assistante diplômée à la Faculté des lettres, Hélène Cordier y consacre une thèse.
- Maître d’enseignement et de recherche à l’Institut des dynamiques de la surface terrestre, Christophe Lambiel porte un regard attentif sur l’évolution du pergélisol, sol gelé en permanence.
- Le festival genevois Histoire et cité ouvre cette année son offre notamment à Lausanne. L’UNIL, la Bibliothèque cantonale universitaire et le Musée cantonal d’archéologie et d’histoire proposent plusieurs événements au palais de Rumine sur le thème de l’eau, du 29 au 31 mars.
- Les spectres sont devenus monnaie courante au cinéma qui leur consacre de nombreux films. Normal selon l’histoire de ce média, présenté dès son apparition comme fabrique à fantômes. Un sujet que présentera Mireille Berton lors du prochain Labo 6x15’.
- En visite sur le campus, le secrétaire d’État Roberto Balzaretti a expliqué l’accord-cadre institutionnel demandé depuis dix ans par l’UE. La Suisse se donne encore quelques mois pour décider s’il convient de signer cet accord âprement négocié.
- Pourquoi se déplace-t-on à bicyclette ? Pour des raisons de bien-être, d’indépendance et pour des questions environnementales. C’est ce que révèle un livre inédit signé Patrick Rérat, professeur à la Faculté des géosciences et de l’environnement.
- Le tac au tac de Adriano Barenco, directeur du Centre informatique depuis le 1er janvier 2019.