Un film de Michaël Prazan, projeté dans le cadre du colloque international : « Violence sociale, violence de masse : quelles répercussions groupales et subjectives ? » organisé par le Laboratoire de recherche en psychologie dynamiques intra et inter-subjectives (LARPSYDIS).
"Juillet 1942, une jeune femme fait passer en zone libre deux enfants, frère et sœur, orphelins, juifs. Plus de 60 ans plus tard, celui qui n’était alors qu’un petit garçon déclare que cette femme était en réalité à la solde de la Gestapo. Elle devait livrer ces enfants mais se serait ravisée au dernier moment, sur le quai de la gare des Aubrais…".
La projection de ce film apportera un éclairage sur les thématiques abordées dans le cadre du Colloque "Violence sociale, violence de masse : quelles répercussions groupales et subjectives ?" (Unil, 16-17 novembre 2018) qui examine les traces que laissent des catastrophes collectives telles que des génocides, des exils forcés, des cas de torture et de déportation de masse, ou encore de violences coloniales dans la réalité psychique des groupes et des sujets.
Ces questions se poursuivront suite à la projection par un débat en présence de :
Michaël Prazan, réalisateur, cinéaste, écrivain
Régine Waintrater, psychanalyste
Mazen Almesber, psychiatre
Jacques Ehrenfreund, professeur d’histoire (UNIL)
Michèle Grossen, professeure de psychologie (UNIL)
Muriel Katz, maître d’enseignement et de recherche en psychologie (UNIL)
Date : Jeudi 15 novembre à 20h00
Lieu : Cinéma CityClub à Pully
Prix : 20.- CHF. Prix étudiant·e·s : 10.- CHF.
Partenariats : La Chaire d’Histoire des Juifs et du Judaïsme (UNIL) et l’Association Romande de Psychothérapie Analytique de Groupe (ARPAG)