Regard sur la recherche à HEC Lausanne-UNIL | À une époque où les conflits entre factions rivales sévissent dans de nombreux pays et régions, quels sont les leviers sur lesquels s’appuyer pour lutter contre les violences qui en résultent? Peut-on sauver des vies en pratiquant le partage du pouvoir? C’est ce que le Prof. Dominic Rohner de la Faculté des HEC a cherché à vérifier au travers de ses derniers travaux.
Dans de nombreux pays ou régions, les tensions qui se créent entre groupes rivaux, que ce soit pour des questions d’appartenance ethnique, de religion ou de philosophie, conduisent à des instabilités politiques, des pertes économiques, voire à des troubles civils.
Dans quelle mesure offrir à la faction perdante un rôle dans le jeu politique permet-il de réduire la violence et de résoudre certains conflits?
Si cette idée paraît relativement évidente, est-il possible d’en mesurer les résultats de manière empirique? C’est la question que le Prof. Dominic Rohner a examinée avec son co-auteur (Hannes Mueller, Barcelona GSE) en se référant à la situation politique locale en Irlande du Nord entre les années 1970 et la signature de l’accord du Vendredi saint en 1998.
Nous vous invitons à découvrir les résultats sur le blog de la recherche à HEC Lausanne, dans l’article intitulé «Guerre et paix: les arguments en faveur du partage du pouvoir».
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