Archipel, la revue littéraire romande, met à l'honneur l'illustre bâtiment de l'UNIL dans un numéro spécial. Au menu, 27 textes rédigés par des auteur·e·s romand·e·s, mais également des étudiant·e·s, un doyen et l'architecte du bâtiment.
Pour rendre hommage à celui qui s’appelait encore Bâtiment des facultés des sciences humaines 2, ou BFSH2, voire même « B2 » jusqu’en 2005, la Faculté des lettres a proposé à la revue Archipel de composer un numéro spécial, pour donner la parole à celles et ceux qui le parcourent ou l’ont parcouru, qui l’ont vécu au quotidien pendant quelques mois ou plusieurs années.
Écrivain·e·s confrmé·e·s ou débutant·e·s, illustres inconnu·e·s ou personnalités célèbres, ils sont nombreux à avoir répondu à l’appel lancé par la revue littéraire.
Architecte du bâtiment à l'honneur – Jean-Luc Thibaud –, doyen de la Faculté des lettres – Alain Boillat –, historiennes de l’art – Nathalie Annen et Vanessa Diener, – et écrivain·e·s – Julien Burri, Eugène, Elodie Glerum, Blaise Hofmann, Quentin Mouron, Colin Pahlisch, Cécile Racine, Nadine Richon –, personnel de l’université – Adrien Bürki, Alessio Christen, Adrien Gaillard – et étudiant·e· s d’aujourd’hui comme d’hier – Gabriel Antunes, Audrey Beeler, Valentine Bovey, Stefano Christen, Manon Héritier, Gaëlle Kovaliv, Noé Maggetti, Lorraine Mathey, Manon Samuel, Audric Wannaz –, journaliste – Isabelle Falconnier –, et poète – Claudine Gaetzi –, les profls de rédacteurs et rédactrices de ces textes sont aussi variés que les expériences qu’ils vous proposent de découvrir en parcourant ce numéro.
L’ouvrage est enfin ponctué par onze « vedute » signées Mathilde Zbaeren, illustratrice et assistante à l’UNIL. Ces dessins donnent à apprécier onze scénographies ordinaires surprises dans l’Anthropole, dans l’esprit des contributions, c’est-à-dire bien loin de l’épure architecturale !
Pensé comme une balade serpentant de l’arrêt du métro jusqu’au sommet de l’édifce, ce numéro vous invite à suivre les traces des voix singulières et universelles, ces quelques témoins sur les presque cinq cents mille êtres qui y ont laissé leur trace, fugitive ou plus concrète.