Le Décanat de la FBM alloue un montant de CHF 200'000.- aux deux récipiendaires suivantes, rattachées à la Section des sciences fondamentales (SSF):
- Catia Attanasio
Elle travaille depuis octobre 2013 au Centre intégratif de génomique (CIG) comme post-doctorante. Son projet de recherche se nomme «genomics views of non-coding regulation during craniofacial development». Son but principal est de mettre en évidence les mécanismes moléculaires par lesquels ces séquences régulatrices contrôlent le développement du visage.
- Sara Trabanelli
Elle travaille depuis août 2013 au Département d’oncologie fondamentale comme post-doctorante. Sa recherche qu’elle effectue dans le Ludwig Centre for Cancer Research of the University of Lausanne se nomme «innate lymphoid cells (ILCs) in the bone marrow niche: a possible interaction with Leukemic Stem Cells (LSCs)». Son but est de déterminer le rôle des ILCs dans les leucémies aigües.
Le CHUV alloue un montant de CHF 300'000.- aux trois récipiendaires suivantes, rattachées à la Section des sciences cliniques (SSC):
- Seraina Faes
Elle travaille actuellement comme cheffe de clinique dans le service de chirugie viscérale après avoir obtenu en 2016 une thèse de doctorat ès sciences de la vie (PhD) à la FBM qu’elle a réalisé dans le même service. Son projet de recherche consiste à investiguer les effets d’un changement de pH cytoplasmique des cellules endothéliales comme moyen d’inhiber la formation des vaisseaux sanguins tumoraux.
- Elena Gonzalez-Rodriguez
Elle a une carrière mixte en clinique et en recherche et travaille depuis 2013 en parallèle dans deux services: service d’endocrinologie, diabétologie et métabolisme et le service de rhumatologie, médecine physique et réhabilitation. Son projet de recherche multidisciplinaire étudie l’effet de la physiologie du cortisol sur la composition corporelle (distribution graisse-muscle) et la densitométrie osseuse. Il est rattaché aux études phares avec la cohorte CoLaus et les sous-études de celle-co, OstéoLaus et PsyCoLaus dont les données seront disponibles pour son projet.
- Sylvia Stringhini
Elle a obtenu son PD en 2016 et travaille à l’institut universitaire de médecine sociale et préventive depuis 2011 comme maître assistante. Son projet de recherche se nomme «Social adversity in early life and cardio-metabolic risk factors: cross-country comparison and the role of policies». Il utilise les données de 4 pays avec des systèmes sociaux et de santé très différents (Royaume-Uni, Etats-Unis, Canada, Portugal) et comparera l’association entre les conditions socioéconomiques et les marqueurs de risque cardiométabolique dans l’enfance et l’adolescence, pour examiner le rôle des politiques sociales et de santé dans la genèse des inégalités en matière de santé au début de la vie.
Le prochain délai de dépôt des candidatures sera annoncé fin 2018.