Un article du quotidien français Le Monde a attiré notre attention sur la parution, le mardi 21 mars, d’un rapport de l’Organisation météorologique mondiale (OMM).
Cette organisation onusienne établit dans son document de bilan annuel que l’année 2016 a été celle de tous les records en matière d’indicateurs de climat et de réchauffement de la planète. Ce rapport vient bien confirmer la déclaration provisoire de l’OMM de novembre 2016 sur l’état du climat mondial et les records de température enregistrés en 2015 et 2016.
Dans ce contexte, il nous a paru intéressant de solliciter l’avis de deux scientifiques de la Faculté, l’un issu des sciences humaines, l’autre des sciences naturelles - un philosophe de la nature, le prof. Dominique Bourg et un métérologue et climatologue, le Maître d’enseignement et de recherche Jean-Michel Fallot, respectivement - en vue d’un regard croisé sur la production et la portée de ces indicateurs :
En complément, et un peu plus ludiquement, nous vous proposons de vous livrer à ce petit quiz, produit par le même grand journal français lors de la COP21 :